1984.

Comme disait Didier : Une date, un lieu, 2 styles…

 


On pourrait croire que les crinières ont été retouchées par Photoshop ; mais non, c’est authentique, en direct des tiroirs de Bribri Fiévet :

1972  :

Annie François et ????????

 


Je vous invite vivement à vous plonger dans le remarquable travail effectué par Bernard Mora et Jean-Louis Chaudrut, que vous trouverez sur le site d’Angoulême BC .

Qu’ils en soient tous les deux chaudement remerciés.


Notre ami archéologue Didier nous fait remarquer que l’histoire est un éternel recommencement et que la tenue de boule à 2 doigts n’est pas née d’hier… ni même d’avant hier !


De 1980.. à 1988.

1987, double mixte à Chalons-sur-Saône : Calberson en force avec Nicole Bottecchia et Patricia Lagadec (que nous remercions pour cet envoi).

MàJ/ 05.05 : Podium : Nicole Bottecchia et Bernard Bisoulier, Babeth et Bernard Chevassus, Nicole Pujol et Jean-Claude Moulenac.

Devant : Philippe André, Patricia Lagadec et Gaétan Gravière, Taïko Martin et Jacques Vergut ; en haut à gauche, Hélène Chambaudy, Maurice Lesourd et Nathalie Fauvel; à droite Monique Taulègne et Michel Vincent, Annick Martel et a priori son mari (derrière), Marie-Paule Berton et Jean-Luc Altwein.

Merci à Didier Marmion, Jeff Ruiz, Bernard Chevassus et Bernard Pujol pour leur aide.

*****

Patricia Lagadec encore, entourée de mon nounours préféré, Michel Langevin, à gauche et de l’excellent Robert Perriaux à droite.
Assis : a priori, Francis Druard et ????

*****

Nouvelles internationales, comme titrerait Bernard Mora :

1988, Coupe du Monde AMF (devenue Qubica-AMF) à Guadalajara (Mexique).

Les représentants français (Nicole Bottecchia et Gérard Macrez).

Les participantes féminines.

Et non, la dame en bleu-blanc-rouge n’est pas la française (Nicole est en bas à droite) mais la joueuse des Pays-Bas.


Une nouvelle fois, tous nos remerciements à Didier Marmion.

1980.

  

Si quelqu’un peut m’expliquer ce qu’était un championnat de France international…


1979 : Cette année là, le sélectionneur s’appelait Georges Lingart et les championnats du monde réunissaient les équipes féminine et masculine :

A l’époque, pour avoir des résultats, il fallait faire le déplacement (ce qui rendait les compétitions conviviales) …. ou attendre le courrier !


1978 – Coupe d’Europe des nations à Berlin. Equipe de France masculine


Mémoire d’un temps où Pâques annonçait le retour des cloches…  et du Tournoi International de Paris en équipes de 5.

Sport Bowling Avril 1974Sport Bowling Avril 1975

Merci à Didier Marmion.


Aujourd’hui, la mode est à la barbe, mais en 1982, elle l’était à la moustache…


Il n’est pas possible de parler de la mémoire du bowling français sans faire appel à celle de Bernard Mora, inlassable globe-trotter qui, pendant des années, a sillonné les centres de bowling et autres salons de quilles pour nous régaler de ses photos et commentaires. Il est l’instigateur du bout de rétrospective qui suit, aimablement transmis par Georges Torok, que nous remercions de cette initiative.

Il manque des noms ; la Ligue compte sur votre aide pour combler ses lacunes. Merci d’avance.

Et si vous avez dans vos archives de quoi compléter cette rétrospective ( ) qui s’interrompt en 2006, nous sommes preneurs ; des photos, évidemment, mais aussi les noms des joueurs/joueuses… et le classement final.

Je profite de l’occasion pour rendre un hommage très francilien à Tonton Cheix, qui a tant fait pour le bowling sportif dans la région.
Merci à Francis Vatel, archéologue de pointe !


Aujourd’hui, l’équipe de France féminine, championne d’Europe en 1985 :


Dans la lignée de l’image ci-dessous, combien des joueuses et joueurs qui ont fait les beaux jours du bowling du Bois serez-vous capable d’identifier sur celle-ci ?

Indice du jour : Décidément partout, l’homme qui tient le micro est au centre du groupe de la photo d’en dessous.


J’ai toujours regretté que notre discipline manque de mémoire, ou tout au moins n’ait pas plus à cœur de valoriser son patrimoine sportif.

Il n’y a aucune nostalgie dans cette démarche, mais je viens de tomber sur un petit bout de ce patrimoine, qui en fera sourire certain(e)s et que je voulais partager avec vous, histoire de rappeler aux jeunes licenciés que parmi les anciens qu’ils croisent et parfois toisent, quelques uns ont un palmarès qu’eux-mêmes ne pourront même pas envisager d’approcher.

Voici donc une équipe de France masculine, dont je vous laisse le soin d’identifier les membres, avec une pensée pour ceux qui nous ont quittés et le souhait que ceux qui sont là puissent partager encore longtemps leur passion et leur expérience.

Indice : l’un d’entre eux est le seul bowler français nommé au Wall of fame de l’IBMA (International Bowling Media association).

ChL

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